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Fresque du 175e de Sainte-Thérèse

2023

Fresque du 175e de Sainte-Thérèse
Fresque du 175e de Sainte-Thérèse
Fresque du 175e de Sainte-Thérèse
Inauguration
Fresque du 175e de Sainte-Thérèse
Lionel Bertrand, journaliste
Lionel Bertrand et Bob La Course

Mandat

Fresque du 175e de Sainte-Thérèse

Production : Ville de Sainte-Thérèse             
Conception et réalisation de l’œuvre : SAUTOZIEUX

Dans un trompe-l’œil architectural faisant référence à la Maison Blanchard, premier édifice érigé à l’emplacement même de l’actuelle Banque de Montréal-BMO, la Fresque du 175e anniversaire de Sainte-Thérèse, d’une dimension de 125 mètres carrés, met en scène, de façon anachronique, 18 personnages et autant d’éléments identitaires et patrimoniaux issus de l’histoire de la ville depuis sa fondation en 1849.
À l’avant plan sur le trottoir, de gauche à droite, nous apercevons : 
- Lionel Bertrand, journaliste, fondateur du journal La Voix des Mille-Iles, puis homme politique, tenant la 
        première publication du journal en 1937 ; 
- À côté de son vélo, Joseph Gustave Robert « Bob » Lacourse, olympien et fondateur du la boutique Bob Cyclo, 
        porte fièrement le chandail des Jeux Olympiques de Londres auxquels il a participé en 1948 ; 
- Une jolie fillette (anonyme) tient un sac de la biscuiterie J.A. Laurin et tend son verre à Clarisse Wadell-Cloutier,
        infirmière dévouée aux alcooliques et aux toxicomanes et impliquée auprès des défavorisés, lui versant du lait de la 
        Laiterie Léveillée ; 
- Deux fabricants de piano, Thomas Foisy, coiffé d’un chapeau haut-de-forme, est le premier à installer son usine à
        Sainte-Thérèse en 1889 et son homologue, Adélard Lesage, avec un diapason à la main, ayant contribué à l’essor de
        l’industrie qui y a perduré jusqu’en 1979 ;
- Digne représentante de la vie bouillonnante de Sainte-Thérèse, une finissante en techniques professionnelles de
        musique et chanson du Collège Lionel-Groulx, joue dans la rue sur un piano Lesage, sur lequel on peut voir les 
        partitions de la ritournelle La rue des pianos, d’Angèle Courville et le mortier de la jeune femme ;
- Un étudiant de l’École de théâtre professionnel du Collège Lionel-Groulx, danse en compagnie d’une jeune femme
        vêtue d’un costume traditionnel représentant la communauté portugaise de Sainte-Thérèse ; 
- Des bobines de fils et des coupons de tissus, provenant du magasin des demoiselles Trudeau, débordent d’un sac 
        sur lequel on peut lire # Village Sainte-Thérèse, en clin d’œil aux commerçants du centre-ville ;
- Tel qu’au Jardin des Sources, des monarques papillonnent sur les asclépiades. 

Au second plan sur la galerie de la Maison Blanchard, de gauche à droite, s’animent :
- Derrière la fenêtre, Jean Roux, fait l'essai et la démonstration de l'éclairage par l’électricité qu’il amènera 
        à Sainte-Thérèse en 1888 pour l'éclairage du Séminaire et des rues publiques ;
- Seul à sa table, James Porteous, distillateur et commerçant, représentant des protestants, ayant perdu sa partie
        d‘échecs, métaphore liée à sa passion pour la course des chevaux ;
- Le Curé Ducharme, dynamique fondateur du Séminaire de Sainte-Thérèse devenu le Collège Lionel-Groulx jette 
        un regard enjoué vers les étudiants qui célèbrent la fin de l’année scolaire ;
- Dans l’embrasure de la porte principale de la maison, le propriétaire de la maison J. Léonard Blanchard, écoute 
        la musique ;
- Premier ministre du Québec de 1879 à 1882 et lieutenant-gouverneur du Québec de 1892 à 1898, l’Honorable Joseph
        Adolphe Chapleau, conversant avec l’émérite sculpteur Olindo Gratton, dévoilant l’esquisse de L’archange Michel 
        de La chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours ;
- Une religieuse soignante de la Congrégation des Sœurs de la Providence, converse avec une religieuse enseignante 
        de la Congrégation Notre-Dame, tenant dans ses main un livre sur lequel on aperçoit une icône de Sainte-Thérèse
        d’Avila patronne des écrivains et des joueurs d’échec ;

Au balcon :
- Marie-Thérèse Céloron de Blainville, à qui on doit le nom de la ville, 3e seigneuresse de la seigneurie des Mille-Iles,
        tenant une rose à la main faisant ainsi référence à Sainte-Thérèse d’Avila ;
- Une oriflamme accrochée au garde marque le 175e de la Ville de Sainte-Thérèse.

Dans le ciel de l’œuvre, à travers l’ombre portée de feuilles d’arbre, des esquisses de bâtiments patrimoniaux importants 
de l’histoire de Sainte-Thérèse s’élèvent, de la gauche vers la droite :
- L’actuel hôtel-de-ville, l’ancien couvent ;
- L’ancienne gare de train ;
- Le clocher du Foyer Drapeau ;
- Le clocher du Collège Lionel-Groulx ;
- Le clocher de l’église de Sainte-Thérèse, l’un des plus haut clocher du Canada ;
- Le tracé original de la rivière-aux-chiens, disparait derrière les bâtiments faisant référence à la rivière recouverte
       d’immeubles en partie dans la ville ;
- La voie ferrée traversant la ville depuis 1875.

Merci à M. Charron, maire de Sainte-Thérèse et à sa dynamique équipe à la culture Anne-Marie Larochelle et Émilie Bouchard ainsi qu’aux membres du comité aviseur de la fresque, Mylene Morissette, Emmanuel Farmer, Caroline Du Pal.

Merci Messieurs Vaudrin d’accueillir cette œuvre sur votre édifice et pour votre ouverture.

Merci à notre super équipe SAUTOZIEUX Gitane, Paméla, Maëlli, Charlotte et Benjamin.







Spécifications techniques

Technique : peinture latex sur panneaux de béton composite et teinture à maçonnerie sur brique
Dimensions : 16m x 10m

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